Top of the Rock ou Empire State? Episode 1: Avis et photos de notre visite au Top of the Rock

Bonjour!

Impossible de venir à New York sans envisager de monter sur une de ces plateformes d'observation.

Munis de notre voucher du New York City Pass acheté sur internet depuis la France, sans hésiter entre lui et le Guggeheim (oui, dans le NY City Pass c'est l'un OU l'autre...)

nous sommes arrivés en milieu d'après midi au Rockefeller Center.

Comme des bleus car il y avait non seulement la queue MAIS EN PLUS, les visites de la journée étaient épuisées. EPUISEES!

Mais ce jour là, nous étions décidés (et puis de nombreux avis disaient un peu partout sur internet que les gens avaient adoré -voire préféré- Top of the Rock!) alors nous avons réservé nos places pour le lendemain en espérant qu'il ferait beau. Du coup, pensez à réserver...

Bref, nous revoilà le lendemain, prêts à grimper. Et coup de chance, il fait beau!

Bon, il a fallu quand même passer les portails de sécurité, enlever ceintures, téléphones, appareils photos et manteaux... Mais à NY on prend l'habitude, c'est comme ça. C'est sans doute plus rapide en été.

Ils ont été traumatisés (on le serait à moins), alors ils assurent (vraiment) maintenant au niveau sécurité.

On prend le temps d'observer (à défaut d'admirer, chacun ses goûts après tout) le style art déco rempli de marbre du célèbre building.

Et on passe rapidement (au mois d'avril!) le long de longs couloirs de cordes en ayant une pensée émue pour les gens qui doivent subir des queues inhumaines lors de saisons plus touristiques.

On accepte même de faire la photo devant le rideau vert (qui leur sert à faire un montage pour vous la proposer à la sortie moyennent je crois 25$...) et hop, (enfin!) un premier ascenseur.

On croit y être mais déception, il s'arrête juste un peu plus haut, (au 67ème étage) le temps qu'on nous refasse faire quelques longueurs de couloirs (jolies vues) et hop, cette fois-ci, c'est le bon:

En quelques instants, le nez en l'air, on se retrouve au 69ème étage.

Là, il y a:

- des banquettes au soleil dans un espace vitré couvert (et des places sur les banquettes, oui, c'est l'avantage d'y aller en avril!)

- de larges balcons (vitrés également) qui offrent des vues dans toutes les directions

- un escalier qui mène au 70ème étage (où je suis vite allée faire des photos)

Nous y voilà.

Mes fils et mon mari se sont bien amusés au jeu des selfies, où on feint de toucher du doigt le sommet de tel ou tel building. (Allez, moi aussi, j'avoue...)

Et j'ai aussi pris quelques photos pour mon blog:

Et puis retour en bas. Il faut bien redescendre au bout d'un moment...

Sur la place: la fameuse patinoire encore en fonction début avril cette année.

J'ai trouvé cette patinoire (dont j'avais beaucoup entendu parler) assez quelconque.

Il faut dire que nous en avons de très belles en France. (Mais non, je ne suis pas chauvine, pffft...) Elle a le mérite je pense d'être en plein centre ville. A un endroit mythique.

Pour conclure, ce que j'ai le moins aimé au Top of the Rock c'est la présence de ces vitres qui m'ont gênée pour prendre des photos. En fait, j'avoue que j' aurais aimé pouvoir me pencher un tout petit peu...

Mais je comprends le côté sécuritaire.

Bien sûr pour prendre des photos sans la vitre, on peut toujours monter au dernier niveau (comme je l'ai fait) mais il est plus étroit que la plate forme principale alors pour photographier les rues en bas vues de haut, c'est impossible car on surplombe le 69ème étage).

J'ai été (très) impressionnée par la vitesse à laquelle monte l’ascenseur.

Et un peu déçue pour la prise de photos.

On est tellement sécurisé qu'on n'a pas tant l'impression d'être si haut...

Le second épisode est dessous: Mon avis et mes photos de l'Empire State Building. Et la conclusion.

Très jolie journée à vous qui passez

© Hélène SF

Edit du 21/12/19

Après ce voyage à NY, il y a trois ans, nous avons décidé de ne plus prendre l'avion pour nos loisirs car nous avons pris conscience de l'impact sur le climat de ces déplacements et nous trouvons égoïste de voyager ainsi au détriment de la vie future sur Terre. D'autant que de toute façon, nous n'aurions jamais eu assez d'une vie pour voir tout ce qui nous faisait envie dans le monde.

Voici une carte que j'ai pris le temps de faire récemment pour expliquer.

Il n'y a qu'une prise de conscience collective et des milliards de changements d'habitudes qui pourront essayer de limiter les dégâts.

Avant, on ne savait pas. Maintenant, nous savons. Comment pouvons-nous continuer ainsi?

Faites-vous une belle journée sans détruire ce qu'il reste de notre planète.

Hélène SF